Page d'accueil du site Navigation principale Début du contenu principal Plan du site Rechercher sur le site

Carrière et temps partiel: modèles de temps de travail flexibles dans les étages de direction

31.03.2017 - 16:53
Une personne sur cinq occupant en Suisse un poste à responsabilité travaille à temps partiel. Alors que les modèles de temps de travail flexibles trouvent de plus en plus d’adeptes, les préjugés et les schémas traditionnels de répartition des rôles empêchent une réelle progression dans ce domaine. Le dernier White Paper de Careerplus illustre les bénéfices de ces modèles et les options de mise en œuvre pour les entreprises.

Les modèles de temps de travail flexibles permettent aux femmes de grimper l’échelle de carrière et aux hommes de réduire leur taux de travail. Alors que les besoins de flexibilité des horaires et du lieu de travail sont une réalité, les modèles y répondant reçoivent un écho favorable dans peu d’entreprises. En 2015, à peine un employé sur cinq occupant un poste à la direction d’une entreprise ou à responsabilité travaillait à temps partiel, les femmes presque cinq fois plus souvent que les hommes. Certains préjugés et la survivance des rôles traditionnels empêchent les femmes et les temps partiels d’accéder à des fonctions dirigeantes. «Les obstacles sont souvent dans la tête des responsables», affirme Julia K. Kuark, consultante en développement de l’organisation. Et celui qui ne travaille pas à temps plein ne s’engage pas totalement pour l’entreprise, dixit un autre mythe propagé à souhait. N’en déplaise à certains, des études montrent qu’au contraire, les modèles de temps de travail flexibles s’avèrent bénéfiques à plusieurs niveaux: ils augmentent la satisfaction, la motivation et la productivité, ils accroissent l’attractivité de l’entreprise sur le marché du travail, ils diminuent la fluctuation et l’absentéisme. Quelles démarches une entreprise doit-elle entamer pour encourager ces modèles? Le dernier White Paper de Careerplus y répond par des exemples concrets, des conseils et des liens utiles.

 

«C’est au sommet que doit s’opérer la transformation»

 

S’ouvrir à des modèles de temps de travail flexibles est un processus continu qui doit débuter dans les étages de direction. En effet, c’est là que la prise de conscience et l’acceptation doivent s’opérer pour que s’établissent de réelles conditions-cadres qui amorceront les changements. Avant de modifier les places de travail, de mettre sur pied des formations ou d’actualiser les technologies, les entreprises doivent d’abord réfléchir à leur culture, conseille Careerplus. «La transformation culturelle doit advenir au plus haut sommet de la hiérarchie», déclare Jacqueline Scheuner, co-directrice générale de Careerplus. Découvrez-en l’exemple dans le document!

SBM Logo