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Marlis Petersen mène le bal des Liebeslieder Walzer

05.02.2019 - 12:03
Une soirée, quatre chanteurs, deux pianistes, trois compositeurs, onze œuvres… Le Grand Théâtre présente le 27 février un programme romantique et chambriste. Le 27 février, la soprano Marlis Petersen emmène Werner Güra, Anke Vondung et Paul-Armin Edelmann rencontrer Brahms, Haydn et Schubert, aux côtés des pianistes Camillo Radicke et Christoph Berner.

Soprano colorature, Marlis Petersen a remporté de nombreux prix de piano avant de se consacrer à la voix, elle qui a incarné Aphrodite lors de la première mondiale de Phaedra de Hans Werner Henze. Juste avant son passage à Genève, elle chantera la Missa solemnis à Munich. Comme elle, la mezzo-soprano Anke Vondung a débuté par le piano, avant de chanter de nombreux rôles travestis, tels que Chérbin dans Le Nozze di Figaro et Siebel dans Faust.

Côté masculin, la soirée accueillera Werner Güra, ténor passé notamment chez Theo Adam et familier des chefs chambristes Philippe Herreweghe et René Jacobs. Avant de chanter sur la scène de Neuve, le baryton-basse Paul-Armin Edelmann incarnera le rôle-titre Peter Schmoll de Carl Maria von Weber au Theater an der Wien.

La première partie regroupera des œuvres de Schubert (Des Tages Weihe D 763


Licht und Liebe D 352, Hymne an den Unendlichen D 232, Gebet D 815, Die Geselligkeit D 609 et Der Hochzeitbraten D 930) et Haydn (Alles hat seine Zeit, Die Beredsamkeit, Der Augenblick et Die Harmonie in der Ehe Hob. XXV). Après l’entracte, place sera donnée aux Liebeslieder Walzer de Brahms, pour « quatre voix et clavier à quatre mains ».

 

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